Guerre de petrole entre l’algerie et la France
L’espion algérien Mohamed tabti le maitre de la nationalisation
Comment la sm algerien a infiltré le palais l’Élysée
Le 24 février est un jour historique et non un jour de gaz de schiste
Rapport l’algérien Mourad alamdar
Chaque fête nationale les soi-disant les servos de la démocratie qui encastrent aujourd’hui la chanson non au gaz de schiste sortent de leur nez pour bénir des protestation contre le pouvoir en oubliant que par leur jeux d’enfant ont toujours troupier ses jours historiques permet eux le 24 février fête nationale de nationalisation un jour spéciale n’est pas venu aux hasard .
Un jour qui a met clos une guerre secrètes entre l’Algérie et la France ou les services secrets algérien ont pu infiltre le palais d’Elysée un exploit jamais réalisé par un service arabe a l’époque
Mission impossible réalisé par des agents secrets a leur tète Mohamed tabti a permet au pouvoir algerien de faire la déclaration du 24 fevrier avec une grande confiance .l’onde de cette décision a secouer non seulement l’état français mais tout le continent occidentale .
Dans ce contexte A partir de 1960, le MALG avait toutes les décisions de concession des sociétés qui exploitaient le pétrole du Sahara algérien et dans le but de les contrer, Abdelhamid Boussouf eut la main heureuse en comptant sur l’amitié d’un homme de la stature d’Enrico Mattei, le patron à cette époque et la figure de proue de l’entreprise italienne ENI. Avec toutes les données en mains, l’Algérie pouvait poser ses conditions à propos de l’avenir du Sahara et des richesses pétrolières.
Après l’indépendance, le flambeau fut transmis à la sécurité militaire qui se déploya à consolider une indépendance chèrement acquise. Un ancien officier de la sécurité militaire témoigne : « A cette époque, les renseignements algériens ont porté plusieurs coups durs aux renseignements français au cours d’une guerre secrète qui se poursuit jusqu’à présent. Impossible de l’oublier vu son impact sur la stratégie française. Le coup le plus sévère était la nationalisation des hydrocarbures annoncée officiellement le 24 février 1971 par le Président Houari Boumediene. Le choix du Président Boumediene de dire « Nous avons décidé » n’était pas irréfléchi ou inconscient. Et il savait que la décision de nationaliser les hydrocarbures aurait un impact profond, non seulement sur la France, mais aussi sur tous les pays consommateurs de pétrole, se rappelant même la chute du gouvernement de Téhéran en 1953 lorsque pareille décision fut prise. Boumediene a annoncé avec beaucoup d’assurance la nationalisation des hydrocarbures, sans craindre le contrecoup de la France. Et pour cause, il détenait toutes les informations concernant la réaction de l’Etat français. Il savait pertinemment que ce dernier n’oserait pas procéder à une attaque militaire contre l’Algérie. Ces informations lui avaient été fournies par le service de la sécurité militaire. Ce n’était pas le fruit de suppositions, mais les renseignements algériens avaient réussi à s’infiltrer aux fins fonds de l’Etat français, voire jusqu’au secrétariat général du Palais de l’Elysée, en envoyant pour cette mission l’officier Rachid Tabti.» Le même témoin poursuit : « Le lieutenant Tabti avait infiltré le secrétariat général de l’Elysée après avoir séduit la première responsable du staff des dactylographes et récupéré des rapports qu’envoyait alors le président français aux différentes institutions et organes de l’Etat. Il s’était fait passer pour un émir arabe et la comblait de cadeaux. En contrepartie, il obtenait toutes les informations sur les intentions des responsables de l’Etat français au cas où l’Algérie viendrait à nationaliser ses hydrocarbures. Cette infiltration est unique en son genre dans le monde arabe, puisqu’aucun service de renseignements arabe n’a jamais réussi un tel exploit, ni même moindre. » Avant qu’elle ne soit « laminée » par la campagne de déboumediénisation, la sécurité militaire a joué un rôle prépondérant dans la préservation et la consolidation des acquis de l’indépendance.
«Si beaucoup de gens imaginent que les officiers de la sécurité militaire considérés comme l’élite du pays, vivaient dans l’opulence, c’était loin d’être le cas au moins jusqu’aux débuts des années 90. De nombreux officiers et officiers supérieurs souffraient de la crise du logement, logeaient dans des conditions difficiles au niveau des casernes et avaient du mal à économiser pour s’acheter un véhicule. Mais tous ceux qui ralliaient l’organe se sentaient honorés et étaient déterminés à servir la patrie en dépit des difficultés».
Cette infiltration est unique en son genre dans le monde arabe, puisque aucun service de renseignements arabe n’a jamais réussi un tel exploit, ni même moindre. C’était un travail de qualité et professionnel, suivi par d’autres réalisations comme l’infiltration du Mossad dans les années 80, à l’époque de Lakhel Medjdoub Ayat, par deux agents algériens au niveau des représentations des renseignements israéliens à Madrid et Marseille.
En revanche, les services secrets français ne sont pas parvenus à infiltrer les renseignements algériens. La dernière tentative en date , remonte au milieu des années 80 lorsqu’un sous-officier a été enrôlé, puis tout de suite démasqué par ses collègues. Il avait fui vers la France sans récolter la moindre information. D’ailleurs, son rang ne lui permettait pas d’être au courant des affaires importantes. Cet échec pousse encore les renseignements français à tenter par n’importe quel moyen d’infiltrer l’organe de sécurité algérien».
«Pour arriver à leurs fins, les renseignements français œuvrent sur deux échelles. D’abord empêcher une quelconque infiltration de la part des services algériens, d’autant qu’en France, il y a beaucoup de français d’origine algérienne. Parmi cette catégorie, des éléments sont enrôlés pour surveiller étroitement la communauté algérienne établie en France. D’autre part, les services français tentent d’infiltrer les institutions algériennes, particulièrement les institutions souveraines de l’Etat, en usant de différentes incitations. La France ne manque pas de continuer sa guerre psychologique contre l’Algérie en exploitant certains éléments qui vouent une aversion à l’institution militaire et son service de sécurité. En plus de la surveillance des associations qui accueillent les membres de la communauté algérienne, ainsi que les mosquées».
«L’éditeur français François Gèze, est considéré comme un expert de la propagande ciblée contre l’Algérie, en particulier son institution militaire, par l’édition d’ouvrages plein de récits pour des ignorants incapables d’aligner deux phases correctes en français et encore moins en arabe, transformant le lâche en héros et le criminel passible d’un jugement en Algérie en opposant politique, même si ce dernier n’est pas au fait de la politique , ni de ses arcanes.
Beaucoup s’étonnent de l’hostilité affichée de François Gèze contre l’Algérie et ses institutions. En fin de compte, Pierre Siramy, l’ex sous-directeur des renseignements français, la DGSE, l’a démasqué dans son livre « 25 années dans les services secrets » paru aux éditions Flammarion à Paris : "Le patron de la maison d’édition La Découverte, en l’occurrence François Gèze, travaille pour les services secrets" (voir le dernier paragraphe de la page 245). Et qui pourrait contredire ce témoin bien placé pour être au courant de tout du fait de son métier?