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Le Rôle invisible des américains dans le conflit malien/SANOGO l’agent secret d’Amérique au pouvoir / Une Vague terroriste va frapper l’Afrique l’ouest

 

Le rôle invisible des américains dans le conflit malien

SANOGO l’agent secret d’Amérique au pouvoir

Le pétrole des noirs entre les mains occidental

La France va rester plus d’une année au mali  

 Une Vague terroriste va frapper l’Afrique l’ouest

Africom bientôt installé au sahel

Mali histoire d’un confit prémédité

 

 Pour envahir l’Afghanistan les américain et leurs alliées ont exploités les arabes et les musulmans pour chasser les soviets ;ils ont formés  des milliers  des jihadistes en les fournissant les armes de pointes pour accomplir cette mission .l’agent secret de cia le nomme ben laden était charger de guider   l’organisation virtuelle nommé quaida ,cette dernière est devenu après la fin de guerre au Afghanistan  une marque déposé  au service des américains en  les fournissant les prétextes d’intervention Dans des zones  stratégiques a traves le monde ; surtout celle qui riche en pétrole et matière première ;on a tous  vu le film de 11 septembre 2001 qui a été réalisé dans les coulisses de c.i.a qui permet au américain et leurs allies de prendre en main la terre des afghan ;même signario pour l’irak .

Avant les américains ont réussit a déchirer l’ex .union soviétique en plusieurs morceau ; cette opération lui ont   permet   de  récupérer des zones riche en pétrole et gaz et confient  au taliban  la surveillance du gazoduc  qui va passer  par les terres afghan venant de Kazakhstan :etc

Rapport réalisé par salah mokhtari


Les américain et leurs allies étroit comme la France ;Israël et d’autre ont réussi a diviser le soudan en deux partie  pour s’ emparer  du pétrole du sud ,aujourd’hui c’est le tour de l’Afrique  qui vit  plusieurs conflit  armées  .  sur  les 46 pays qui compte  L'Afrique  il existe 15 pays qui sont concernée par  ces conflit, Conakry, le Liberia, le Nigeria et la Sierra Leone ; en Afrique de l’Est, l’Erythrée, l’Ethiopie, la Somalie, le Soudan et l’Ouganda ; en Afrique centrale, le Burundi, la République démocratique du Congo et le Rwanda ; enfin en Afrique australe, l’Angola et le Zimbabwe.  Et aujourd’hui  le mali  . 

Les anciennes puissances coloniales, soit par le soutien inconditionnel qu’elles apportent aux pouvoirs en place, soit par leur silence complice, portent une part de responsabilité dans la gestion, l’éclatement et les ravages de ces conflits. qui ont permet a ces puissances d’exploiter les richesses africains comme l’or ;dimons et pétrole et autre matière première très importantes .

Le cas malien est une preuve concrète de l’implication de l’occident, comme les américains et les français qui veulent  nous faire croire que leurs objectif au mali c’est éradiquer les groupes terroristes ;mais  dans realilité c’est le pétrole des malien et des noirs de manière générale qui est l’objectifs ;  avec la complicité de   ces groupes terroristes manipulés par les services de renseignement américain et français qui fournit    les prétextes de l’intervention militaires  comme ce qui c’est  passé au Afghanistan et l’Irak.

Le scenario de l’intervention américaine au nom des français et des africains au mali était programme depuis longtemps, surtout après que les ses dernier  ont reçu une opposition ferme de l’appart des algériens  concernant l’installation d.’africom au sahel, une chose qui  a déranger l’Amérique qui a  met en  place le plan l’intervention militaire au mali au nom des français sous prétexte de la menace terroristes .

La réalisation de ce plan  a débuté par l’explosion de la Libye ou les groupes terroristes et le mnla d’Azaouad  ont pu avoir des tonnes d’armement ,par suite on a  donner le feu vert au mnla  d’ envahir le nord  avec l’aide des groupes terroristes et proclamé son état indépendant , au même temps le groupe  terroriste eljihad wa taouhid prend une partie du mali et proclame lui aussi son état islamique en voulant appliquer le charia ;cette organisation va bouger les sentiment international en détruisant des  monuments  historiques comme les  mosquées et lieu des marabouts ,c’est le même scenario des taliban quand ils ont fait détruire les sites historique des budéismes.

Devant cette situation grave  l’armée malienne se déclare incapable de régler le problème de sa sécurité nationale ;les responsable a leur tete att étaient complice dans le kaou malien  au  moment ou ils ont liées des relations avec des groupes terroristes avec l’encouragement des américains et français sous prétexte de libérer les otages détenu par ces groupes contrôlés par télécommande  .

Selon   Cheick Oumar Sissoko  le président du parti Solidarité Africaine pour la Démocratie et l'Indépendance (SADI) , Les vrais et seuls responsables  de crise malien qui entraine l’intervention étranger sont Amadou Toumani Touré  et son gouvernement ; Le MNLA (Mouvement National de Libération de l’Azawad) ;  Certains anciens militaires de Lybie ; AQMI, Les narcotrafiquants  qui ont signé un pacte avec les groupes terroristes ont faisant du mali une plaque tournante de drogue dur , Les narcotrafiquants  d’après Cheick Oumar Sissoko  ont eu des complicités pour faire atterrir deux avions bourrés de drogue dure. ;Une des personnes impliquées au plus haut niveau a été arrêtée et déferrée à la prison de Bamako. Elle vient d’être libérée sans autre forme de procès.


 
SANOGO l’agent secret d’Amérique au pouvoir


Le 12 mars 2012 les malien se réveille sur  les infos d’un puch militaire guider par le capitaine   Amadou Haya Sanogo  .   Dans un programme diffusé à l’aube ; un groupe de soldats indiquant appartenir au Comité national pour le redressement de l'État et la restauration de la démocratie (CNRDRE) annonce un coup d’État, accusant M. Touré d’avoir mal conduit la guerre. Le CNRDRE annonce la suspension de la constitution, la mise en place d’un couvre-feu et la fermeture des frontières. Nombre de magasins et de commerces restent fermés à Bamako. La localisation du président Touré est inconnue, mais il serait en sécurité. Plusieurs ministres et dirigeants politiques sont emprisonnés. Le coup d’État est immédiatement condamné par les États-Unis et l’Union africaine. Le MNLA réaffirme son objectif d’obtenir l’indépendance de l’Azawad.
ces condamnation n’ont pas  changé la situation ; le capitaine 
Amadou Haya Sanogo  et ses collaborateurs   restent au pouvoir en faisant un marquage démocratique avec la complicité des américains et les français  ,un nouveau président qui  a été soit disant blesser par belle dans un attentat, ramener en France pour  réservoir des soins en réalité il a reçu des ordre pour préparer l’intervention militaire français par une demande officiel au jour j.  

Le Parcours  du  réalisateur du putsch militaire  a été marqué par un bizutage mortel survenu en octobre 2011 à l'école militaire de Koulikoro, près de Bamako. Cinq élèves-officiers étaient morts à la suite de sévices. Le chef de la junte était à l'époque instructeur à Koulikoro Il n'était pas là le jour où les faits se sont passés, mais puisque tout le personnel d'encadrement a été sanctionné après l'affaire, SANOGO  aussi a été sanctionné Dans son entourage figurent trois militaires faisant l'objet d'une procédure judiciaire dans cette affaire 

Populaire parmi les hommes de Kati, à qui il dispensait des cours d’anglais, l’homme au béret vert a accroché un badge des Marines américains à son uniforme,  Amadou Haya Sanogo qui est  Âgé d’une quarantaine d’années a passé ses premières années à Ségou avant d'intégrer le Prytanée militaire de Kati. Il reçoit une formation militaire approfondie aux États-Unis entre 2004 et 2010, tout d'abord dans une base de l'Armée de l'air à Lackland au Texas ;     puis une formation d'officier du renseignement à Fort-Wachica en Arizona, enfin d'août 2010 à décembre 2010 dans le cours de formation des officiers d'infanterie de l'Armée de terre à Fort Benning en Géorgie  Il a également assisté à des réunions militaires internationales, notamment une au Maroc sur l’anti-terrorisme.

Par le baye de ce capitaine formé par les américains que l’intervention militaire étrangere a été réaliser ,cette intervention qui n’est pas couvert par les medias lourd françaises ou autres n’ont  pas montrées a quelle degré il realise un succès sur le terrain  après une dizaine de jours on a remarquer que les français ont facilement récupérés les zones envahies  par les amies d’hier sans aucune résistance ; en plus aucune photo n’a filtré de  ses combats virtuelle et bombardement imaginaire .

Dans ce conteste  F. William Engdahl  ’écrivain et chercheur en géopolitique a déclarer le 21 janvire   au site media Park que  « organisation AQMI est très suspicieuse et le timing de ses activités suggère que peut-être quelques pays de l’OTAN sont en train de l’aider à obtenir des armes et ainsi créer un casus belli pour une intervention de l’OTAN ».  on ajoutant que «  un  jeu particulièrement cynique se jouant au Mali et que cela est très dangereux alors que l’Afrique est le continent subitement découvert par la Chine, les Etats-Unis, l’Europe et le reste du monde, comme étant le prochain endroit pour sécuriser de vastes ressources naturelles. »

Concernant le rôle américain dans cette guerre William Engdahl  pense   que «   la stratégie du gouvernement Obama »  consiste a «  Laissez  la France encaisser les coups sur ce problème comme elle l’a fait en Libye et en d’autres endroits cette dernière année et demie et les Etats-Unis eux, vont essayer de jouer un rôle plus discret  derrière la scène, plutôt que de se retrouver au front comme ils le furent en Afghanistan et en Irak, ce qui coûta aux Etats-Unis leur crédibilité au regard du monde. » d’apres lui «  Les Etats-Unis jouent un peu plus un jeu sournois ici, mais la diligence pour les Etats-Unis d’annoncer son soutien à la France et son action militaire ainsi que les actions de l’AFRICOM ces deux dernières années au Mali montrent clairement que ceci est en fait une opération américaine et que la France joue le rôle du petit cadet associé »

La meme chose s’est passe en Libye ou les américains en intervenu publiquement  en libye En mettant en scène une opération terroriste contre son consulat a bengazi ou on a dit que l’ambassadeur américain a été tue chose   démenti par   les photo de celui ci qui  montre l’ absence de  blessures  magret que le consulat américain a été cibler par plusieurs tir de requête ;  c’est un petit 11 septembre américain  a Bengazi pour faciliter l’entrer  américain .

 

 Le pétrole des noirs entre les mains occidental

Vague terroriste va  frapper l’Afrique de  l’ouest

Africom bientôt installé au sahel


Les occident a leur tète l’Amérique et la France ne s’intéresse pas a la sécurité du peuple malien et de l’Afrique de manière générale ;mais c’est le pétrole et les richesse minières qui sont leurs priorités  absolue ;car depuis longtemps le mali vit des crises économiques et sécuritaire et aucun pays européen avec eux  l’Amérique n’ont donné la main pour ce pays déchiré par des guerre civile successif programme ,aujourd’hui on a entendu que la France et  ces alliées africains ont besoin de 500 millions de  dollars pour qu’ils puissent combattre les 2000 terroristes ;pour récolter cette somme ils envisagent d’organiser un congrès mondial ,pour  cette France  n’a  pas pensé a ca auparavant pour aider ce pays loin  des armes et les complot .

La guerre du pétrole c’est le nom exacte de ce qui ce passe au mali ,qui va se propagé au reste des pays de l’Afrique de  l’ouest,  et  l’Algérie de manière indirecte ,cette guerre appelé par les français Serval a couté selon Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense français , en 12 jours   environ "30 millions d'euros», une moyenne de 2,5 millions euros par jour  ce qui fait que un mois va couter  65 millions euros ,alors on peut dire que les militaires  français vont rester au mali plus d’une année car la somme 500 million dollar  demandé est le cout d’une année de dépense militaire .

Les vrais raisons de cette guerre au mali s’expliquent par la découverte récente de  La Société d’exploitation pétrolière du Mali (Petroma) d’un gigantesque gisement de gaz à Bourakèbougou, une localité située à 60 km de Bamako et 45 km de Kati, la ville garnison.  Mieux  encore, il s’agit d’hydrogène à l’état pur (98,8 % d’hydrogène et 2 %  de méthane et et de nitrogène), chose très rare  au niveau mondial si l’on en croit Aliou Diallo, l’homme d’affaires à la tête de Petroma. Cerise sur le gâteau : le gaz n’est situé qu’à 107 m de profondeur de107 m. Selon lui, son entreprise serait même  en mesure de produire du courant pour toute l’Afrique de l’ouest à moins de 10 F CFA (0,020 centimes d’euros) le kilowatt  contre 106 FCFA à l’heure actuelle.  

 les majors pétrolières  telles  que Total   s’intéresse fortement aux   immenses ressources énergétiques  du bassin Taoudeni,  situé à cheval  sur les  territoires  du Mali donc, mais également de la Mauritanie, du Niger et de l’Algérie, ce sont également  des réserves  de gaz  situées à la proximité de la capitale Bamako et  ses mines d’or qui pourraient attirer  les convoitises. Sans  parler  du coltan, matière  première  fort recherchée rentrant  dans la fabrication des téléphones portables.

   le Nord du Mali, là où se situent les principales tensions, précisons   que si cette région contribue très peu – à l’heure actuelle – au PIB du pays,le sous-sol des régions de Gao, Kidal et Tombouctou suscite beaucoup d’espoir : 850 000 km2 de potentiel gazier et pétrolier, selon les études menées par l’Autorité pour la recherche pétrolière (Aurep). Un contexte qui pourrait  expliquer en partie la situation actuelle  et qui pourrait justifier  des velléités de partition du pays. Quoi  qu’il en soit, 4 bassins principaux ont été identifiés dans cette zone : Tamesna (à cheval entre le Mali et le Niger), Taoudeni (qui couvre également une partie de l’Algérie et de la Mauritanie), le graben de Gao et le rift de Nara (vers Mopti).

Dès 2005, l’Autorité pour la promotion de la recherche pétrolière (Aurep), organisme sous tutelle du ministère des Mines  malien  a procédé au découpage de ces bassins en 29 blocs exploitables. La plupart d’entre eux ont été remportés par des petites entreprises, mais  également  par le groupe algérien Sonatrach (via sa filiale internationale Sipex) et l’italien ENI. Le pétrolier  français Total étant  également de la partie. 

Mais l’insécurité dans cette partie du pays limite  quelque  peu   les ardeurs des investisseurs, ainsi  que les coûts d’acheminement du matériel. Lesquels devraient grimper compte-tenu de la situation actuelle. Cette  dernière étant même de nature à geler les travaux. 

Plus  grave, selon Africa Energy Intelligence, trois jours après sa reconduction au gouvernement, le ministre malien des mines Amadou Baba Sy a signé le 18 décembre dernier  un décret stipulant la reprise par l’Etat du bloc 4 du bassin de Taoudeni jusqu’alors opéré par ENI et Sipex (Sonatrach).

Rappelons  que Petroma est une société canadienne spécialisée dans la recherche, l’exploitation, le transport et le raffinage des hydrocarbures liquides ou gazeux, est détenue à 98 % par des capitaux maliens et le reste par Petroma Ink (une société canadienne), laquelle a investi plus de 10 millions de dollars dans le projet de Bourakèbougou, qui selon les indicateurs, est doté d’une réserve gigantesque. Une découverte qui permet au  patron de la société d’envisager pouvoir produire de l’électricité au Mali à partir de l’hydrogène.

La construction  aussi de la première unité aurifère de Kodierana quant à elle  été réalisée  par les sociétés canadiennes Bumigeme et ABF Mines, et a été entièrement financée par le fonds or Mansa Moussa. Ainsi,  ces richesse que détient le mali ont fait de lui une cible idéal aux yeux des occidentaux    qui vont   coloniser sa terre par le baie de la légitimité internationale.

Dans ce conteste William Engdahl  pense que « cette entreprise porte la marque du commandement américain en Afrique, AFRICOM, et une tentative de militariser toute la région et ses ressources naturelles. Le Mali est une tête de pont stratégique en cela. Il est frontalier de l’Algérie, qui est une des premières priorités de ces interventions variées de l’OTAN de la part de la France, des Etats-Unis et d’autres parties. De plus il y a autour la Mauritanie, la Côte d’Ivoire, la Guinée, le Burkina Faso, tous ces pays représentant des ressources naturelles immenses quasiment inexploitées, que ce soit pour l’or, le manganèse ou le cuivre. »

On a remarqué  comment  les groupes terroristes ont facilement quitter les villes qui l’on occupées  juste après l’intervention militaire français au mali ; ces groupes ont menacés les pays africains  comme la Mauritanie, la Côte d’Ivoire, la Guinée, le Burkina Faso qui  participe a cette opération mystérieuse ;et cela pour préparer la suite de l’intervention étrangère dans ces pays qui va être au nom de la lute antiterroriste ,ces pays qui sont eux aussi  riches  avec des ressources naturelles immenses quasiment inexploitées, et pour être exploiter par les français et ces allies ils faut qu’une vague terroriste frappe cette région de l’Afrique de l’oust   qui sera  le nouveau  siège  des groupes terroriste venant du mali avec la complicité de la  France et ses alliées ……

Ces conditions favorables vont préparer l’installation de l’africom au sahel « mali »

                       

Mali histoire d’un confit prémédité


Le territoire malien, dénommé Haut-Sénégal-Niger devient, en 1895, une colonie française intégrée à l'Afrique-Occidentale française avec une portion de la Mauritanie, du Burkina Faso et du Niger. Kayes devient son chef-lieu pour laisser la place, en 1907, à Bamako. En 1920, elle est appelée Soudan français. Parmi les différents gouverneurs coloniaux, on peut citer Henri Terrasson de Fougères, qui fut Lieutenant-gouverneur du Haut-Sénégal-Niger en 1920-1922, gouverneur intérimaire en mars 1920, puis à nouveau le 21 août 1921 pour être ensuite nommé Gouverneur du Soudan français du 26 février 1924 à 1931.

Comme tous les peuples de l’Afrique au Sud du Sahara, les Touaregs se sont farouchement opposés à l’occupation coloniale française. Vu l’inégalité des armes, les Touaregs se battant avec des armes traditionnelles (des lances, des sabres, des flèches) et quelques fusils rudimentaires contre les canons des

Français, la supériorité militaire du colonisateur français a eu raison de la bravoure des Touaregs, comme de celle d'autres peuples avant eux. Mais les Touaregs, habitués à se déplacer sans contrainte dans tout le Sahara,

ont très mal accepté la domination française, l’occupation du Sahara par les Français étant considérée comme un asservissement. Malgré des tentatives de révoltes dont les plus célèbres sont celle de Firikoun, au Mali, et

celle de Kaosen, au Niger, l’espace touareg resta sous contrôle français.

C’est en juin 1957, quand les territoires sous domination française accédèrent à un régime semi-autonome, en Vertu de la Loi cadre, dite également loi Defferre (du 23 juin 1956), que les velléités de sécession ont commencé à renaître. Au Soudan français, actuel Mali, Mohamed Aly Attaher, ancien chef de la tribu des Kel Antessar du Tilemisi, envoie alors depuis la Libye, à son frère Mohamed El Mehdy ainsi qu’à tous les autres chefs de tribus nomades du pays, une lettre circulaire pour leur demander de rejeter la fusion avec les Noirs au sein d’un même État. De façon conciliante, la France manifeste officiellement, et pour la première fois, sa volonté de créer l’Organisation Commune des Régions Sahariennes (OCRS ). Ce projet a pour ambition de détacher des espaces territoriaux de l’Algérie, du Soudan français, du Niger et du Tchad –zones réputées riches en ressources minières – et ceci au bénéfice de la puissance coloniale. Et ces espaces correspondaient justement à ceux occupés par les Touaregs, l’astuce consistait donc à faire miroiter aux yeux des ethnies «blanches » la promesse de ne pas subir le « commandement des ethnies noires ». En dépit de l’hostilité et de l’opposition de plusieurs parlementaires et élus d’Afrique du Nord et subsaharienne, l’OCRS fut créée par la loi française n° 57-7-27 du 10 janvier 1957 (parue dans le journal officiel de la République française du 12 janvier 1957). Officiellement, le but proclamé était de « promouvoir toute mesure propre à améliorer le niveau de vie des populations et assurer leur promotion économique et sociale dans le cadre d’une évolution qui devra tenir compte de leur tradition ». Mais le projet OCRS échoua, cela pour deux raisons : d’une part parce que le gouvernement de la République soudanaise, dirigé par le président Modibo Keita, s’opposa fermement à la tentative, qui, de toute évidence, relevait d’une atteinte à l’intégrité du territoire national du Soudan. D’autre part, le projet fut rejeté par la plupart de ceux à qui il s’adressait, en l’occurrence des hommes d’influence et des chefs de tribus et de factions.

la première rébellion touareg, ou rébellion des Fellaghas, est lancée  en 1962  Dans le Nord, depuis la région de Kidal  aui a été  violemment réprimée   La guerre qui a finit en 1964   a provoqué un exode massif des Touaregs vers l’Algérie et d’autres pays voisins

 Le Nord du Mali et le Nord du Niger ont été douloureusement secoués aussi  par un autre conflit  ce que l’on a désormais l’habitude d’appeler le « conflit touareg », conflit qui a commencé en mai 1990 au Niger et qui s’est étendu au Mali à partir de juin 1990.

Historiquement, le Mali et le Niger sont tous deux d’anciennes colonies françaises et, socialement, ils se partagent les peuples songhaï, peul, maure, arabe et touareg. Ce n’est donc pas un hasard si les conflits touaregs au Mali et au Niger sont, ainsi, intimement liés. C’est au Niger que le conflit a commencé, entre les jeunes Touaregs armés, les Ishomars, et les forces armées nigériennes (FAN). Le Mali a été entraîné dans le conflit suite à l’arrestation des jeunes Touaregs qui avaient participé à cette attaque au Niger, qui avait fait des victimes soldée par des pertes en vies humaines. Elle a été suivie de représailles de l’armée malienne. La région venait de s’installer dans une violence sans précédent, une. Les jeunes Touaregs maliens ont attaqué la gendarmerie de Ménaka le 29 juin 1990 pour libérer leurs frères nigériens. Cette attaque s’est aussi violence qui provoqua malheureusement la perte de nombreuses vies humaines. Voilà comment est né le conflit touareg de 1990 au Nord du Mali et du Niger.

                                   

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