L´occupation juive s´installe en suisse
la mafia des juifs new-yorkais commandent les banuisse
Législation répressive visant la liberté des opinions
AAARGH / SOURSE
Selon le télétext de la télévision suisse romande, du 22 juillet 1998, l'écrivain suisse Jürgen Graf a été condamné à 15 mois de prison ferme. Une autre personne jugée avec lui, son éditeur Gerhard Foester, a été condamnée à 12 mois
de prison ferme .
Dans son numéro du 18 juillet 1998 le Journal suisse "Le Temps" a publié un article sur le procès que les autorités du canton d'Argovie ont intenté contre Jürgen Graf pour avoir eu des doutes sur le mythe propagandiste juif de l´"Holocauste". Le procureur avait requis 18 mois de prison ferme! Il est reproché à Jurgen Graf 11 infractions à la loi juive interdisant le doute en publiant le résultat de ses recherches qui conredisent la version propagandiste juive sacrée de l´histoire. Dans cet article le site de Radio Islam est cité ainsi que le site "Aaargh", et un site suisse "Wilhelm Tell" basé aux USA. L´article relate que la police fédérale hélvétique veut obliger les fournisseurs d'accès à l´Internet à "bloquer" certains sites dont celui de Radio Islam et ceux susmentionnés. Un certain Roman Studer chargé du dossier à la police fédérale déclare que "comme il n'est pas possible pour des raisons techniques de bloquer tous les sites en infractions avec la législation il a été décidé de procéder à une sélection. La police fédérale a déjà fourni aux fournisseurs d'accès, le 23 juillet 1998, la liste des sites
à proscrire et à "filtrer" sous peine de poursuites judiciaires.
Jürgen GRAF est un professeur de lettres de l'enseignement secondaire helvétique qui vit à Bâle. Il y a plusieurs années, ses lectures diverses l'ont convaincu de la justesse du point de vue défendu par les révisionnistes. Il a alors entrepris d'exposer de manière simple et claire ce point de vue à des lecteurs qui lisent l'allemand, sa langue maternelle. Mais Graf est un polyglotte remarquable et bientôt ses écrits et ses traductions ont commencé à trouver un public international. Convaincu que la Suisse, sa patrie, était un havre de protection de la liberté d'expression, par contraste avec l'Allemagne voisine, périodiquement secouée par des accès de rage contre cette liberté même, il a, ces dernières années, multiplié les écrits: quatre livres, de nombreux articles et de nombreuses traductions, en particulier d'ouvrages de Carlo Mattogno, un chercheur italien avec lequel il est allé travailler aux archives de Moscou, mettant là à profit sa
Connaissance du russe.
Il ne voulait pas croire, rapportent des personnes qui le connaissent, que la nouvelle loi "antiraciste" irait jusqu'à réprimer d'honorables citoyens qui entendent oeuvrer à des travaux d'histoire, en dehors de toute idéologie raciste ou politique ou autre. La proverbiale naïveté de nos voisins transjurassique
allait bientôt être cruellement mise à l'épreuve.
? La Suisse est-elle ignoble
Déjà, il y a longtemps, l'affaire Paschoud avait montré la profondeur des réactions de trouille dans le monde des notables suisses. En 1986, Mariette Paschoud avait douté, publiquement, et ce doute avait provoqué sa mise à pied de l'éducation et de l'armée helvétique, où elle occupait une obscure fonction. Voici ce qu'écrivait le numéro 3 de la Revue d'histoire révisionniste: "Mariette Paschoud et son mari ne cessent de payer un lourd tribut, non à leurs convictions révisionnistes, mais au fait qu'en 1986 Mme Paschoud, professeur de français et d'histoire dans un lycée de Lausanne, était venue présider à Paris une conférence où Henri Roques avait essayé d'exposer le contenu de sa thèse sur Gerstein. En un premier temps, elle se voyait interdire l'enseignement de l'histoire; en un second temps, devant l'impatience du rabbin Vadnaï, elle se voyait interdire l'enseignement du français et reléguer dans un obscur emploi d'archiviste. Son mari était licencié d'une entreprise privée. Il trouvait un emploi public. Il vient d'en être démis à la suite d'une longue campagne le décrivant comme suspect
d'idées extrémistes (lire: révisionnistes)." (nov 90-janvier 91, p.221.)
Henri Roques et Pierre Guillaume avaient été interdits de séjour après une conférence avortée au pays de Jean-Jacques Rousseau. Bref, on savait
l'intolérance déjà bien fleurie au pays de l'édelweiss
La loi, qui est longuement évoquée dans le jugement en première instance qui allait condamner un libraire parce qu'il avait fait son métier de libraire, Aldo Ferraglia, venait frapper la diffusion en Suisse d'un livre qui est vendu de manière parfaitement légale en France, celui de Roger Garaudy sur Les Mythes fondateurs de la politique israélienne. Nous reproduisons le dispositif de ce jugement pour qu'on voie comment fonctionne cette loi, qui met la Suisse pratiquement en tête dans la liste des pays pourvus de législation répressive visant la liberté d'exprimer des opinions révisionnistes. On sait que les Israéliens sont maintenant décidés à faire du lobbying, des pressions, ou si l'on préfère, du chantage, pour obtenir des pays européens qu'ils aggravent cette législation spécifique qui désigne les juifs comme des intouchables. On sait que le libraire Ferraglia a gagné ensuite en appel, mais le cas est porté par les organisations juives devant la cour suprême, à Berne.
Le plus extravagant, dans tout cela, pour qui se souvient du passé récent de la Confédération, est le fait que l'opinion des Suisses alémaniques, pendant la deuxième guerre mondiale, inclinait fortement vers le puissant voisin du nord. La neutralité n'empêchait pas les sympathies politiques et l'opinion se divisait, tout comme au moment de la première guerre mondiale. Le passé devrait susciter des prudences calculées. Vouloir aujourd'hui jouer les antifascistes de pointe est une façon comme une autre de se couvrir de ridicule. Jouer aux bons Samaritains alors que la Suisse n'acceptait les réfugiés juifs qu'avec beaucoup de
circonspection et pas mal de dégoût relève de l'infamie .
Des shekels aux chacals
Evidemment, le pouvoir en Suisse, celui des notables, des banquiers et des trafiquants, si justement dénoncé, livre après livre, par un universitaire et homme politique du canton de Genève, Jean Ziegler, qui est aussi l'auteur d'une lettre de soutien à Roger Garaudy, ce pouvoir a énormément la trouille. La Suisse, avec ses lingots d'or, est prise à la gorge par une mafia de juifs new-yorkais, installée dans les banques et la politique locale, et qui a décidé que le moment était venu, grâce à la manipulation qu'ils peuvent faire à la fois du gouvernement américain et des marchés de Wall Street, de se payer la peau de la bête helvéte. En reprochant aux Suisses d'avoir été neutres dans la seconde guerre mondiale -- ce qui ne devrait pas être une grande découverte aujourd'hui -- et en assimilant cette neutralité à une complicité active envers les nazis, on crée un levier pour une opération de chantage inouie, dont on avait vu la préfiguration avec l'Autriche et l'affaire Waldheim, sans grand succès à l'époque. Le banquier suisse est beaucoup plus sensible aux coups d'épingle dans son postérieur rebondi. Et malgré les protestations des quelques politiciens bernois indignés par ces procédés de voyou, les banquiers, qui se sont déjà fait plumer une première fois dans les années 1945-1950, par les Alliés, vont repasser à la caisse et compter de beaux et brillants shekels aux chacals de New York ,
D'Amato et compagnie.
Il est donc très urgent de lécher la main qui vous soufflette et le derrière qui vous embrenne. C'est ce que la justice suisse s'efforce de faire en le faisant savoir à cor et à cri. Le malheureux Jürgen Graf et son éditeur grabataire Förster sont donc tombés au plus mauvais moment. Et on attend une foultitude d'autres procès faits à toutes sortes de gens. Un site suisse opportunément nommé Wilhelm Tell en tient une recension. Mais on ne sait pas encore comment le bailli Gessler sera abattu. Graf vient d'être condamné en première instance à quinze mois de prison, son éditeur à douze et le total des condamnations pécuniaires semble avoisiner 300.000 francs français. Il faut dire que c'était une drôle d'idée d'aller se faire juger en Argovie. S'il y a une région que l'on peut qualifier de trou du cul de l'Europe conservatrice, archaïsante, c'est bien cette région germanophone des cantons originels, Uri, Schwyz, et plus tard Argovie, etc. dont la mecque est
Zurich. Relisez Zorn.
Il ne nous a pas semblé nécessaire d'ouvrir un dossier sur cette affaire. Que les banquiers suisses soient assez cons -- il n'y a pas d'autre mot -- pour se faire racketter de cette façon, ce n'est pas bien grave. Ces gens-là ne sont pas à un milliard de dollars près. Ils en reçoivent tout autant chaque jour, de la part de tous les voleurs de la planète, qui occupent des postes de pouvoirs dans tous les pays, et qui alimentent leurs comptes numérotés avec le produit de leurs rapines. Il y a des généraux sud-américains ou des politiciens africains qui mettent cinq à
dix mille dollars sur leur com